« L'Ouche coule limpide, à l'ombre des saules vénérables, dans un lit qui semble prolonger le pré tant y abondent les joncs, les nénuphars et les herbes, vertes chevelures de nymphes peut-etre que peigne ou qu'échevele le courant. Où l'eau apparait, elle forme de larges miroirs qu'une multitude d'insectes polissent sans répit. Sur les bords, paissent des boeufs, de grands boeufs blancs marqués de roux »
George Droux – Flanerie en Bourgogne. op.cit. p. Dijon 1926.
L'Ouche que décrit si bien George Droux s'étendait, avec ses méandres, sur toute la largeur de la vallée, inondant prés et champs lors des grandes pluies.Cette rivière a été régularisée à grands frais, plusieurs fois elle a été redressée. Lors de la construction du pont en1758-59, son lit fut creusé ce qui n'évita pas des débordements, notamment l'inondation de 1856 qui submergea le parc du petit séminaire.L'abbé Lereuil indique que l'Ouche fournissait des truites renommées et le livre de comptes du couvent des chartreux indiquait que l'on chassait sur ses bords les « Bièvres »espèces de castors dont la chair était succulente et la fourrure fort estimée.
George Droux – Flanerie en Bourgogne. op.cit. p. Dijon 1926.
L'Ouche que décrit si bien George Droux s'étendait, avec ses méandres, sur toute la largeur de la vallée, inondant prés et champs lors des grandes pluies.Cette rivière a été régularisée à grands frais, plusieurs fois elle a été redressée. Lors de la construction du pont en1758-59, son lit fut creusé ce qui n'évita pas des débordements, notamment l'inondation de 1856 qui submergea le parc du petit séminaire.L'abbé Lereuil indique que l'Ouche fournissait des truites renommées et le livre de comptes du couvent des chartreux indiquait que l'on chassait sur ses bords les « Bièvres »espèces de castors dont la chair était succulente et la fourrure fort estimée.
Tiré du livre "Plombières-Les-Dijon à travers les âges"
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